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Il était une fois ... ma première bêtise

  • LeDomaineDeSnow
  • 4 août 2020
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 7 août 2020

Un week-end, mes maitres m’ont déposé dans la famille de ma maitresse. Il parait qu’il avait réservé un week-end en amoureux chez la petite souris en France depuis longtemps. Après m’avoir fait un énorme câlin et donné les dernières consignes à mes gardiens, ils m’ont laissé avec mes croquettes, mon gros coussin et mes jouets. C’était la première fois qu’on était séparés pendant deux jours mais bon, je me suis bien amusé à courir dans les champs et derrière les vaches, à aboyer pour un rien et à nager dans la grande piscine enterrée même si je n’y avais pas droit. Deux jours plus tard, ils sont revenus me chercher, j’étais si heureux qu’il ne m’ait pas abandonné pour de bon.


Alors on est rentré et comme il était tard, ils sont allés se coucher. Mais moi je n’étais pas fatigué, alors j’ai décidé de redécorer la maison. Et même si tout était en hauteur, j’ai pris un malin plaisir à déchirer tous les magazines, mordiller les chaussures, faire un petit pipi en plein milieu de la pièce et même renverser un sachet plastique dans lequel contenait plein de petits trucs marrants dont un jouet hyper marrant que j’ai réussi à exploser avec mes pattes. Sauf que je n’avais pas pensé que ça ne voudrait plus quitter mon coussinet. Mes maitres, qui venait de se réveiller, s’approchèrent de moi et j’entendis mon maitre dire « Oh non, cet idiot s’est collé la patte à la super glue ». Ils essayèrent par tous les moyens de me décoller de ce jouet, j’ai eu droit au beurre, à l’huile, … Ils finirent par se décider à m’emmener à la clinique vétérinaire.


Arrivé là-bas, je n’ai pas fait le malin très longtemps. Tous les praticiens du cabinet défilèrent dans la salle où

j’étais, ils avaient du mal à garder leur sérieux quand mes maitres expliquaient la situation. J’étais l’attraction de cette fin de week-end. Finalement, ils n’eurent pas d’autre choix que de m’endormir pour pouvoir retirer ce vilain jouet collant de ma patte, parce qu’on ne peut pas dire que j’étais très coopératif. A mon réveil, j’étais un peu vaseux. Ma maitresse rigolait doucement et me dit « Mon pauvre, ils t’ont mis un abat-jour sur la tête ». J’ai essayé de marcher quelques pas mais je n’arrêtais pas de me coller aux quatre murs de la pièce, et là c’est les

médecins qui rigolèrent à leur tour.

Décidément, je n’en rate pas une.



 
 
 

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